L'inspecteur Lojacono est transféré au commissariat de Pizzofalcone. Arrivé sur place, le policier Guida le salue de manière désinvolte, mais Lojacono lui fait remarquer que ce n'est pas une façon de se présenter.

Palma présente Lojacono à l'équipe du commissariat de Pizzofalcone, qui ne sera opérationnel que pour quelques mois encore.

L'agent Aragona a lu les dossiers de ses collègues pour savoir ce qu'ils avaient fait au cours de leur carrière. C'est ainsi que nous découvrons ce dont Giuseppe Lojacono était accusé.

Au poste de police, un appel arrive et bien que ce ne soit pas une tâche administrative, Lojacono décide de faire son travail et de se rendre sur les lieux.

Lojacono aperçoit un objet sous la table qui pourrait être l'arme du crime. Le commissaire adjoint renvoie Lojacono car il objecte que ce type d'affaire n'est pas de son ressort.

Le commissaire adjoint Palma est très en colère contre Lojacono pour être intervenu dans une affaire qui ne relève pas de la compétence du commissariat de Pizzofalcone. Deux agents de l'équipe de Palma sont envoyés chez une femme qui dit que sa voisine est prisonnière dans son appartement.

Di Nardo et Romano tentent d'en savoir plus sur la mystérieuse femme, mais lorsqu'ils lui demandent de monter à l'étage pour vérifier si tout va bien, elle refuse. Le procureur appelle un collègue pour obtenir des informations sur Lojacono.

Lojacono est convoqué par le procureur. Ils se rencontrent pour un café et elle va droit au but: elle veut savoir ce que pense Lojacono du meurtre de Madame De Santis.

La théorie du vol qui a mal tourné fait le tour des journaux et met tout Naples en émoi. Le commissaire, en accord avec madame Piras, décide de confier l'affaire De Santis au commissariat de Pizzofalcone.

Lojacono, Aragona et Piras retournent au domicile de la victime pour examiner de plus près les boules de verre de la collection de la victime. Palma a convoqué Lojacono au poste de police et l'équipe a émis des hypothèses sur les objets trouvés dans une benne à ordures derrière la maison du notaire.

Maintenant que l'affaire du meurtre de De Santis a été confiée à l'équipe de Pizzofalcone, Lojacono et Aragona se rendent chez le notaire, le mari de la victime, pour lui poser quelques questions.

Pendant que Lojacono et Aragona interrogent les employés dans le cabinet du notaire, Romano et Di Nardo entrent dans la maison de la mystérieuse fille avec un mandat.

L'architecte répond à contrecœur aux questions des policiers sur la jeune fille qui vit dans son appartement. Lojacono continue de tisser des liens professionnels avec le Procureur provoquant peut-être un peu de jalousie autour de lui.

Aragona rencontre Marina en dehors du bureau du notaire. Elle se sent plus libre de parler et avoue savoir qui est la maîtresse de son employeur. Il s'agit d'une comptable de 30 ans que le notaire a rencontrée un an auparavant.

Alex et Romano ont une conversation plutôt houleuse avec la mère et les frères de Nunzia Scarlatti. Surtout Romano qui n'y va pas par quatre chemins et l'un des frères de Nunzia se jette sur lui. Au poste de police, Pisanelli est convaincu que les personnes âgées qui sont décédées ne se sont pas suicidées.

Alex va parler à Nunzia seule, dans l'espoir de l'aider, pour découvrir plus tard que Nunzia ne veut pas du tout être aidée et qu'elle accepte de vivre enfermée dans la maison de l'architecte.

Aragona dit qu'il est arrivé à la pension où il loge, pour aussitôt s'éclipser, dès le départ de Lojacono. Pisanelli est convaincu que les dossiers dont il s'occupent ne sont pas ceux de personnes qui se suicident. Après une écrasante journée de travail Lojacono doit régler ses histoires personnelles.

Pisanelli va voir son ami Frère Leonardo et dans la paix et le silence du cloître de l'église, les deux marchent et discutent. Lojacono et Aragona sont convoqués par la cheffe de la police scientifique qui a des nouvelles importantes concernant des preuves possibles pour élucider le meurtre de la femme du notaire.

La police scientifique a retrouvé un courriel que le notaire avait envoyé à sa femme, dans lequel il lui révélait qu'il était tombé amoureux d'une autre femme et qu'il voulait divorcer. La réservation du vol pour la Micronésie reste toutefois un mystère.

Francesco perd facilement le contrôle lorsqu'il s'agit des affections familiales. Le soupçon de Lojacono que Russo était enceinte est confirmé.

En sortant de la clinique, Iolanda trouve Lojacono et Aragona qui veulent lui poser quelques questions. La femme avoue qu'elle attend un enfant d'Arturo et que le futur papa est ravi. Cependant, la police est dans l'impasse et la presse leur fait la vie dure.

Tous sauf Lojacono sont convaincus que c'est le notaire qui a tué Cecilia . Palma sollicite tout de même sont équipe pour continuer à enquêter.

Lojacono et Aragona sont à la recherche d'une boule de verre particulière qui ne se vend que dans un seul magasin de la ville.

Ayant découvert qui avait acheté la boule de verre, Lojacono et Aragona peuvent facilement découvrir qui a tué la femme du notaire. Ils vont donc voir le suspect et obtiennent ses aveux.

Les policiers parviennent enfin à reconstituer ce qui s'est passé. De Lucia leur raconte qu'il s'était rendu chez Cecilia pour une déclaration d'amour et pour lui demander de partir ensemble. Aveuglé par son refus, il devient fou et la frappe avec la boule. Avant l'incident, Cecilia parvient à écrire une lettre à son mari.

Nous assistons à la conférence de presse et après le discours, toute l'équipe du commissariat ira manger une pizza pour fêter ce succès.

Après avoir travaillé ensemble sur l'affaire, les membres de l'équipe rentrent chez eux pour s'occuper de leur vie personnelle. Ils sont tous profondément seuls et malheureux, ainsi ils ne ressentent pas d'enthousiasme à l'idée d'aller manger une pizza avec leur chef.

L'équipe du commissariat de Pizzofalcone était censée célébrer la résolution de l'affaire De Santis, mais seuls Ottavia et Palma se rendent à la pizzeria. Le préfet de Police appelle Palma pour lui annoncer une bonne nouvelle.

Dans cette première partie d'un nouvel épisode, un homme est assassiné en pleine nuit.

Les deux dames qui sont censées fournir des informations sur la dynamique du meurtre sont plutôt confuses. La seule chose sur laquelle elles s'accordent est que deux hommes se sont enfuis sur une moto.

Au poste de police, Palma et Lojacono font le point sur la situation sur le meurtre de Vincenzo Ramaglia, chauffeur des sœurs Filangeri. Ottavia découvre que la victime avait été prolablement condamnée à huit ans d'emprisonnement. Les sœurs Filangeri ne peuvent pas le croire ; à leurs yeux c'était une personne aimable et normale.

Au commissariat, Romano fait une scène à Aragona et tous deux sont immédiatement réprimandés par Palma. Lojacono est au restaurant et Letizia s'assoit à côté de lui pour savoir ce qui le préoccupe.

Pendant le dîner chez les parents de Giorgia, Francesco est plutôt désagréable et fait tout pour écourter la soirée. Di Nardo doit rentrer à Naples après avoir passé la nuit à Rome.

Lojacono et Aragona se rendent au domicile de Ramaglia et interrogent la femme puis la fille de la victime. La jeune fille leur raconte un incident au cours duquel son père s'est disputé avec un homme de couleur. Il pourrait s'agir d'une première piste pour l'équipe de police de Pizzofalcone.

La police scientifique a pu déterminer le type d'arme utilisé pour le meurtre de Ramaglia. Aragon et Romano rapportent à Palma ce qu'ils ont appris du directeur de la prison.

Romano rentre chez lui avec une bouteille de vin mousseux pour fêter l'événement, mais Giorgia n'est pas là. Di Nardo regarde la télévision avec ses parents lorsqu'elle reçoit un message inattendu. Au commissariat, Palma et son équipe montrent la photo de Samuel Buchkar à la fille de Ramaglia.

Lojacono et Aragona retrouvent Bukhar et l'amènent au commissariat car il n'a pas d'alibi pour la nuit où Vincenzo Ramaglia a été tué et pas de permis pour le port de son pistolet.

Lojacono rencontre Paolo, un ancien collègue sicilien qui vient l'informer des nouveautés sur l'histoire passée de Giuseppe. Cependant, il ne veut plus entendre parler de cette affaire-là et veut tourner définitivement la page. Plus tard, au poste de police, Bukhar est interrogé, mais les choses ne se présentent pas bien pour lui.

Un nouveau meurtre, certainement lié à celui de Ramaglia, désoriente l'équipe de Pizzofalcone. À partir du seul indice dont ils disposent, Lojacono et ses collègues commencent à enquêter sur le meurtre de Capuano pour trouver le lien avec celui de Ramaglia.

Après avoir fouillé le domicile de Capuano, Lojacono et ses collègues trouvent la piste du meurtrier.

Romano et Aragona vont parler à Castrovetere en prison pour savoir s'il avait quelque chose à voir avec les meurtres de Ramaglia et Capuano. Pisaniello se trouve dans une station de métro lorsqu'il découvre qu'une femme vient de se jeter sous la rame.

Ottavia ne peut plus supporter le poids d'une situation familiale compliquée. Lojacono et Piras se rendent chez les sœurs Filangeri et leur montrent la photo de Capuano.

Les sœurs Filangeri affirment n'avoir jamais vu Cosimo Capuano, alors que la police est convaincue qu'il était en relation avec Vincenzo Ramaglia, leur chauffeur. Octavia découvre, comme autre élément utile à l'enquête, que Cosimo Capuano a travaillé pendant une courte période dans un club où trois jeunes sont morts d'une overdose.

L'équipe de Lojacono se rend à la prison pour parler à Castrovetere qui leur donne des informations importantes. Les sœurs Filangeri sont contraintes d'interrompre leur partie de cartes pour répondre aux nouvelles questions de l'Inspecteur.

Les intuitions de Lojacono s'avèrent justes. Clelia raconte à la police l'histoire triste et déroutante de sa fille et de sa petite-fille.

Les révélations choquantes de Clelia semblent clore l'affaire, mais un doute plane dans la tête de Lojacono et il continue d'enquêter avec Laura Piras.

Lojacono pose des questions au clochard qui a assisté au meurtre du videur. Grâce à ses réponses, il découvre que l'Audi verte appartient à une amie de Clelia.

Pisanelli demande au pharmacien de l'aider à trouver un moyen d'identifier la prochaine victime et de coincer le meurtrier. Romano a pris deux pizzas pour le dîner, mais Giorgia n'est pas encore rentrée et son téléphone est éteint, ce qui le met en rage. Au poste de police, Ottavia a envie de faire la fête et apporte un vaste assortiment de pâtisseries.

Giacinta, Madame Carmignano et Madame Lancellotti racontent leur version des faits à toute l'équipe du commissariat de Pizzofalcone.

Après une longue journée de travail Francesco rentre chez lui, mais Giorgia n'est pas là. Palma reste au poste de police, dîne et regarde les annonces de maisons à louer dans le journal. Lojacono et madame Piras discutent dans la voiture.

La rencontre entre Piras et Lojacono, qui aurait pu se prolonger, se trouve interrompue par Marinella qui attend son père dans le hall de l'immeuble.

Cela fait plus d'un an que Lojacono n'a pas vu sa fille. Marinella annonce à son père qu'elle a été renvoyée de l'école et qu'elle n'a plus envie d'étudier. Pendant ce temps, un jeune garçon trouve le cadavre d'une femme dans la cave d'un immeuble.

Lojacono et Aragona se rendent sur les lieux du crime. Ils obtiennent les premières informations sur la victime et observent des écorchures et des ecchymoses sur le corps de la femme.

Lojacono rend visite à Monsieur et Madame Scognamiglio, la famille dans laquelle Teresa a travaillé comme femme de ménage pendant six ans.

Lojacono et Aragona demandent à un copropriétaire et à Nico Forcella des informations sur Teresa. Ils apprennent qu'il y a déjà eu des incidents concernant la victime.

Lojacono et Aragona posent des questions à Vincenzo Marino, le mari de l'ancienne concierge de l'immeuble. Il confirme également l'histoire de la querelle entre Giacomo Scognamiglio et le mari de Teresa, mais il n'en connaît pas la raison. Au commissariat, Romano fait remarquer à Palma qu'il en a assez de remplir des papiers.

Lojacono rentre chez lui et Marinella s'apprête à sortir avec sa nouvelle amie. Romano essaie à nouveau de contacter sa femme, mais son téléphone est toujours coupé. Enfin, Pisanelli rend visite à son ami Leonardo au couvent et lui fait part de son plan pour sauver la prochaine victime.

Lojacono, Romano et Di Nardo reviennent parler au mari de Teresa, qui leur révèle la raison de la querelle avec Giacomo Scognamiglio. Ils poursuivent les interrogatoires aux autres étages de l'immeuble.

Lojacono aimerait parler à Giacomo Scognamiglio, mais sa mère lui dit qu'il n'est pas à la maison. Lojacono en profite donc pour aller poser quelques questions à un autre voisin, Monsieur Vassallo et sa famille.