Cet inspecteur ne plaît vraiment pas à Luca. Il se sent observé et il s'en passerait volontiers.

Mario est contraint d'avouer à Giacomo son petit jeu. Giacomo s'en va retrouver le professeur Stern mais ne trouve qu'une lettre, cependant tout devient plus clair à présent.

La nouvelle machine à écrire ultra compacte est quasiment prête, quelle satisfaction pour Olivetti et son brillant technicien. La jeune pauvre maman refait son apparition dans les bureaux de l'ingénieur.

Lorsque M. Ponti a été tué, il se rendait au poste de police pour signaler le vol à domicile qui avait eu lieu cette nuit-là.

Mario pensait sans doute s'en être sorti une nouvelle fois. Mais après le dîner les choses se compliquent sérieusement.

Paola vient chercher le soutien affectif de Adriano dans un moment de grande confusion émotionnelle.

Luca sait toujours comment se consoler. Au poste de police, un événement dramatique met Quattroni en état de choc. Rosmini, en revanche, a repéré une nouvelle proie.

La sœur de Giacomo se fâche contre son père pour défendre son frère. Giacomo fait une surprise à Mario qui par ailleurs s'étonne de la gentillesse soudaine de sa femme, la soirée s'annonce tendue pour lui.

Adriano Olivetti commence à se faire craindre. Les Industriels du Nord s'inquiètent de possibles révoltes ouvrières dans leurs usines. Des bruits courent attribuant à Olivetti des idées communistes et les États-Unis s'apprêtent à envoyer un agent pour le surveiller.

Luca se prépare à passer une soirée parfaite avec Marta. Cependant elle semble avoir d'autres projets...

Mario pourrait commencer à nourrir en lui quelques doutes, quelques remords. En attendant, Giacomo demande à sa sœur comment se procurer les cent cinquante mille euros.

Adriano veut à tout prix réaliser une machine à écrire portable et pour cela il est prêt à faire une proposition déloyale à un employé d'une usine concurrente.

Le moment est venu de découvrir pourquoi Marta était la véritable cible de la tentative de meurtre. Luca doit rendre des comptes à un responsable des bureaux d'inspection.

Que diable Mario va-t-il encore s'inventer cette fois-ci pour escroquer le bon Giacomo?

Les associés et membres de la famille d'Adriano ne voient pas d'un très bon œil ses idées de développement de l'entreprise. On lui reproche de donner trop de poids au bien-être des ouvriers au détriment des bénéfices.