Les efforts d'Enzo et de Capuano pourraient vite porter à un futur meilleur mais il y a toujours quelques personnes malveillantes qui dérangent.

Lara est toujours hésitante au sujet de Massimo et Luca donne à son ami Sergio un conseil infaillible pour séduire Ginevra.

Lara continue de recevoir des fleurs et semble vraiment indécise. Luca indique à Toscani ce qu'il doit faire pour le bien de l'enquête. Une femme désespérée arrive dans le bureau du commissaire... elle est prête à tout pour retrouver son chien.

Et voilà... l'électricité a été coupée! Mais le Judo apprend aussi à affronter les adversités, à s'y adapter sans flancher.
L'agent Russo est toujours aux prises avec les délinquants.

Il se passe quelque chose de vraiment étrange en ville. Pendant ce temps, la tante de Lara ne retrouve pas son cher chien Brigadiere.

Une nouvelle affaire à l'horizon ! Qu'a-t-il bien pu se passer ?

Enzo et sa femme se font pas mal de soucis. L'agent Russo réussit à arrêter un bandit pris en plein flagrant délit de vol à l'arraché.

Un corps sans vie trouvé dans un bois, un cadeau imprévu offert à Lara et un Quattroni mystérieux... C'est ainsi que commence ce nouvel épisode de notre commissaire préféré.

Lara peut enfin se détendre et partir en vacances avec Massimo. Mais parviendra-t-elle vraiment à partir sereine ?

Sasà a voulu faire le malin mais il y a des règles à respecter... Les jeunes qui se comportent bien n'aspirent qu'à une chose: quitter Scampia.

Quand tout semble clair voilà qu'un coup de théâtre vient bouleverser l'enquête mais permet aussi d'y mettre fin. Et maintenant, Lara va enfin pouvoir se reposer !

L'atmosphère est de plus en plus tendue, le ton monte et le cercle se resserre de plus en plus...

Au cours de judo, tout le monde est bienvenu même Felice, malvoyant et puis Sasà se présente à l'improviste tandis qu'un policier voudrait le jeter en prison...

Luca interroge Stefano et Sally livre aussi son témoignage. Qui dit la vérité et qui cache quelque chose ?

Certaines preuves ne mentent pas et le préfet Casadio doit admettre que Manara n'a pas tout à fait tort !