Quittant la périphérie de Rome, Annalena se rend dans un quartier de classe moyenne où elle rencontre le professeur et écrivain, Alessandro Piperno. Il parle de ce que c'était que de grandir là-bas et de son identité en tant qu'écrivain.

Melania Mazzucco a grandi dans un quartier de Rome à la périphérie, pas dans la partie que les gens associent habituellement à la belle ville. La Fiat 500 blanche que son père a achetée pour la famille est devenue une partie importante de sa vie.

Melania parle de sa relation avec son père lorsqu'il était encore en vie. Il n'a pas dit grand-chose, mais à son insu, il a essayé de faire publier une de ses histoires. Elle parle de l'un de ses quartiers préférés de Rome : l'Isola Tiberina (île du Tibre), la seule île fluviale de la partie du Tibre qui traverse Rome.

Melania Gaia Mazzucco parle de l'un de ses romans qui se déroule dans le Trastevere du XVIIe siècle, un endroit très différent de ce que nous voyons aujourd'hui. Bien qu'elle ait voyagé dans le monde entier, Mazzucco est issue de générations de romani di Roma (Romains de Rome).

Annalena continue de parler avec Paolo Giordano, qui parle de la façon dont des endroits comme l'Afghanistan et les Pouilles ont influencé son écriture.

Annalena meets up with Paolo Giordano who talks about the trauma of moving from Turin to Rome. Giordano's first novel, La solitudine dei numeri primi (the solitude of prime numbers) from 2008 was made into a popular film of the same name in 2010.

Chiara Gamberale parle de comment et où elle écrit, et comment sa vie a changé maintenant qu'elle a une petite fille.

La journaliste Annalena Benini nous présente différents écrivains de différents endroits d'Italie, à commencer par Rome, où elle interviewe Chiara Gamberale, romancière.

Même les derniers jours de sa vie, Moscati donnait chaque matin du lait aux pauvres et aux nécessiteux des quartiers les plus défavorisés de Naples.

Arcangelo rend visite à Giuseppe et lui conseille de se reposer car, s'il ne le fait pas, sa santé risque d'empirer. Moscati a probablement compris qu'il ne s'agissait pas d'une simple fatigue et écrit une lettre aux personnes les plus importantes de sa vie.

Préoccupé par la nouvelle réforme gouvernementale qui rendrait tout son travail inutile, Giuseppe demande de l'aide à Giorgio, mais celui-ci est peu enclin à accepter sa requête.

Giuseppe et Nina vendent des meubles et des tableaux de famille pour rembourser des dettes et avoir un peu de liquidité. Giuseppe poursuit les visites à son domicile. Parmi ses patients se trouve un enfant accompagné par Elena.

La situation financière de Giuseppe et Nina n'est pas des meilleures. Giuseppe continue d'accueillir les patients à son domicile, en demandant un petit don ou en faisant payer la consultation à ceux qui en ont les moyens.

Elena ne peut réaliser son plus grand souhait et trouve du réconfort auprès de Giuseppe qui l'emmène dans un endroit spécial.

Margherita Hack a contribué tant au progrès scientifique qu'au progrès social. Comme héritage, elle laisse un grand intérêt que toujours plus de jeunes nourrissent pour la science et des noms de femmes scientifiques italiennes, importantes aujourd'hui pour leur travail et leurs découvertes.