En l'espace de quelques jours, Oriana découvre deux choses qui vont changer sa vie à jamais.

Alekos a du mal à trouver du soutien même parmi ses compatriotes en Italie. Oriana doit partir pour des entretiens importants et sera absente pendant un certain temps.

Alekos Panagulis poursuit son combat contre le gouvernement, mais quelqu'un se met toujours en travers de son chemin. Oriana pense que la meilleure façon de continuer la résistance est d'aller en Italie.

Alexandros Panagulis achète des maillots de bain pour enfin se baigner dans la mer, sur un rocher, il flirte avec Orianna. Malgré sa grande popularité, il garde toujours un tempérament nerveux.

Panagulis raconte à Oriana les tortures les plus atroces subies dans la prison où il est resté cinq ans. Oriana est bouleversée par ces récits, à tel point qu'elle ne remarque pas le temps qui passe et qu'elle a raté son avion pour l'Allemagne.

Oriana modifie son itinéraire pour interviewer Panagulis en Grèce au lendemain de sa libération.

Le général Loan est impitoyable et ne regrette pas ses actions. Oriana ne regrette pas non plus les siennes, mais dans son cas, personne ne perd la vie.

Cette brève expérience d'Oriana dans un orphelinat est très intense et elle ne l'oubliera jamais.

Oriana rencontre enfin le général Loan et interroge les trois prisonniers.

Oriana rend visite à François Pelou puis son photographe vient l'informer qu'elle a obtenu l'autorisation d'interroger les trois détenus condamnés à mort.

Oriana recueille les témoignages des soldats au camp de base, qui tour à tour racontent l'horreur de la guerre.

Oriana arrive enfin sur le front. Les soldats tentent de l'avertir des plus grands dangers. Les frappes ennemies leur tombent dessus et elle sort sa machine à écrire.

François Pelou et Oriana Fallaci se promènent la nuit dans les rues de Saïgon et voient les soldats passer du bon temps avec les vietnamiennes. Oriana attend toujours une réponse du général Loan en ce qui concerne une interview qu'elle veut faire à trois prisonniers.

Oriana rencontre François Pelou, correspondant de guerre français au Vietnam. Ensemble, ils tentent de convaincre un général américain de suspendre l'exécution de trois Viet-Congs.

Oriana parle en termes non équivoques de la condition des femmes musulmanes dans les pays islamiques. En 1967, elle se rend à Saïgon, au Vietnam, un pays déchiré par la guerre.