Au poste de police, on découvre qu'Anna Rossetti avait emménagé avec son fils et qu'elle avait activé la carte de téléphone portable deux mois auparavant. Cependant, Lojacono se souvient d'une rencontre qui le rend méfiant et il décide de rendre visite à Vassallo pour lui poser quelques questions.

Lors de l'entretien chez Fabio Vassallo, il avoue avoir eu une liaison avec Teresa, mais affirme qu'il ne l'a pas tuée. Alors qu'il est sur le point d'être emmené au poste de police, les choses semblent enfin s'éclaircir, mais pas complètement.

Lojacono a parlé au mari de Teresa et lui a dit que sa femme avait quitté Vassallo parce qu'elle l'aimait. Il lui dit également qu'il n'a pas l'intention de classer l'affaire car il ne croit pas à la culpabilité de la personne inculpée.

Lojacono parle avec Laura et ils découvrent qu'on les a entendus à travers les conduits d'air. L'enquête se poursuit lorsqu'on découvre qu'il existe une affaire non résolue, similaire à celle qu'ils tentent d'élucider, remontant à une trentaine d'années.

Au commissariat, il s'avère que les figurinent ont un lien entre elles. Lojacono va donc voir Marino pour confirmer ce qu'il a compris et faire éclater la vérité.

Marino est au poste de police pour répondre de ses actes. Il avoue comment les choses se sont passées avec Teresa et Caterina. À ce stade, Vassallo peut rentrer chez elle en attendant le procès.

Locajono accompagne sa fille au port. Elle lui promet d'étudier et de revenir bientôt chez lui. Entre-temps, une nouvelle femme de chambre arrive.

Les célébrations pour l'anniversaire de Mariolina sont en cours, mais le gâteau qu'Angela doit apporter semble être en retard, alors elle va voir ce qui se passe.

Ettore Della Giovanna, un célèbre journaliste italien qui a vécu de 1912 à 2004, a eu la chance de pouvoir interviewer Giuseppe Ungaretti, considéré comme l'un des plus grands poètes du vingtième siècle.

Le journaliste Della Giovanna présente les autres invités et demande au poète Ungaretti de raconter un peu de sa vie.

Ungaretti raconte ses souvenirs parisiens. En effet, vers 1912, tous les mardis à Paris, de nombreux artistes et poètes de toute nationalité se rencontraient dans les cafés littéraires.

Un poète italien et un poète français ont particulièrement attiré Ungaretti. C'est le secret, le mystère qui fait qu'un texte devient une poésie; écoutez Ungaretti nous l'expliquer.

"Gocce di memoria" est une chanson écrite et interprétée par Giorgia et composée par Andrea Guerra. Il s'agit de la chanson du film "La finestra di fronte" (la fenêtre d'en face) de Ferzan Ozpetek. Le single, tiré de l'album "Ladra di vento" (voleuse de vent) s'est vendu à plus de 120 000 exemplaires.

L'auteure-compositrice-interprète Giorgia a présenté ce single au Festival de la Musique Italienne, Sanremo 2025. Elle le décrit ainsi : "'La cura' est pour moi une chanson qui raconte une recherche à travers un sentiment très fort, donc aussi une prise de conscience de la force de ce sentiment et aussi des moments de peur, des moments de profonde solitude." En bref, nous devons être notre propre remède.

Gianna Nannini chante lors du concert RadioItalia Live un de ses plus grands succès : "America", tiré de l'album America sorti en 1979.