L'interview de Tiziano Terzani continue. Il revient sur la fois où il a été capturé au Cambodge par les khmers rouges et raconte comment il a réussi à sauver sa vie grâce à la parole et au regard.

Dans cette vidéo, Walter Caporale poursuit son discours sur la mise à mort d'animaux sans étourdissement et l'absurde dérogation de la loi italienne qui l'autorise. Il souligne la nécessité de l'échange pour éviter le recours à la haine et à la violence.

Tiziano Terzani (1938–2004), journaliste, correspondant de guerre et écrivain de succès. Cette interview, considérée comme étant historique, a été présentée pendant l'émission Cartabianca (Carte blanche) pour la Télévision Suisse, en langue italienne. Le présentateur est Leo Manfrini, un grand ami de l'écrivain.

Walter Caporale continue à parler des droits des animaux, en nous demandant pourquoi les chiens et les chats, mais pas seulement, doivent subir les injustices des humains, simplement parce qu'ils ne savent pas comment se défendre. Même la dérogation pour la mise à mort d'animaux à des fins de rites religieux est une chose désastreuse, qui devrait être éliminée selon lui.

Chassez le naturel... il revient au galop. C'est comme ça pour grand-mère Italie qui, après une vie de petits cambriolages et séjours en prison, s'enfuit aussi de la maison de retraite après avoir vidé le coffre-fort de la direction. Son petit-fils Mario doit la retrouver au plus vite et pour cela il devra faire appel à son cousin Righetto...

Raffaelle est un producteur d'huile d'olive vierge extra. Dans ce documentaire, comme petite introduction, il nous apprend quelque chose sur le respect que les populations ont toujours accordé aux oliviers depuis l'antiquité et jusqu'à nos jours.

"Il figlio più piccolo" (Le plus jeune fils) est un film écrit et réalisé par Pupi Avati sorti en 2010. Ce film dénonce la décadence des coutumes dans l'Italie d'aujourd'hui. Le protagoniste, Christian de Sica, est un entrepreneur sans scrupules qui pour atteindre le succès ne s'arrête devant rien et va même jusqu'à utiliser son plus jeune fils.

Voici une scène du film Chi si ferma è perduto (Celui qui s'arrête est perdu) sorti en 1960, dans lequel Totò joue le rôle de Antonio Guardalavecchia. Il courtise Giulia, la sœur de son président, afin d'être promu chef de bureau. La scène du balcon rappelle Roméo et Juliette de Shakespeare.

Le docteur Vitali se tient sur le balcon à côté de celui d'où Imma et son mari regardent le cortège, et il en profite pour parler de travail.

Imma se précipite pour rejoindre son mari et sa fille sur une petite terrasse qu'ils ont probablement louée, afin d'assister au festival Bruna, et à cet instant, elle reçoit un SMS important. Pendant ce temps, Valentina va saluer Samuel, qui lui confie un secret.

Le jour de la fête de Bruna est arrivé, mais Imma et Calogiuri terminent leur travail au bureau. Une fois terminé, Calogiuri exprime à Imma tout ce qu'il pense et ressent, à la grande surprise d'Imma, qui le croyait taciturne. À un moment donné, il répète la même chose deux fois, mais s'adresse à elle de manière informelle. Les détails comptent parfois !

Imma résume avec Calogiuri comment se sont déroulés les événements concernant la mort de Don Mariano et, en reconstituant les événements, décide d'envoyer quelques avis aux personnes concernées.

Imma reçoit un colis contenant la tablette de Don Mariano. La note à l'intérieur indique que la tablette contient toutes les preuves recueillies par Don Mariano.

Imma se présente à Scaglione et lui confie tout ce qu'elle sait : ses découvertes et ses soupçons concernant les terres contaminées et la mort de Don Mariano. Elle n'a pas encore de preuves, mais elle n'a aucune intention de s'arrêter.

Imma cherche des informations sur le tremblement de terre des années 1980 et, parmi de vieux articles de journaux, le nom d'Antonio Scaglione apparaît. Elle décide d'aller lui rendre visite.