Dafne et son père commencent à reprendre une certaine routine à la maison. Le papa a fait quelques courses et prépare le dîner. Dafne lui raconte sa journée de travail. Mais quelque chose ne va pas...

Dafne déjeune avec sa nouvelle collègue Camilla. Chez le coiffeur, elle reçoit un coup de fil de sa copine Viola qu'elle rejoint.

Dafne se rend à une soirée avec une copine et un garçon lui demande de lui accorder une danse.

Le père de Dafne erre dans la maison au milieu de la nuit avec une lampe de poche à la main. D'un côté, Dafne essaie de le soutenir moralement, de l'autre elle essaie de lui faire comprendre qu'elle est désormais adulte et qu'elle a besoin de son espace.

Dafne essaie de convaincre son père à faire autre chose que de rester au lit. Elle a aussi quelques idées pour changer la décoration.

Une chanson sert de toile de fond aux scènes de cet extrait où l'on voit Dafne continuer son chemin, alors que son père essaie lui aussi tant qu'il peut de prendre le dessus sur le drame qui l'a dévasté.

Dafne est dans le train avec son père. Ils ont décidé d'aller marcher dans la nature.

Petit à petit, en marchant et en discutant, Dafne et son père font des découvertes l'un sur l'autre, profondes et très personnelles.

Dafne ne mâche pas ses mots pour critiquer son père, mais une chose est sûre, elle sera toujours là pour lui. Il se fait tard et ils ont besoin de manger et de dormir.

Dafne et son père dînent au refuge tout en bavardant. Quelqu'un se joint à eux...

Le père de Dafne raconte ce que c'est d'apprendre à la naissance que son enfant est trisomique et comment sa femme s'est tout de suite occupée de Dafne.

Dafne et son père se remettent en chemin malgré le temps pluvieux et la douleur aux pieds.

Dafne veut que son père arrête de fumer et essaie de l'aider à sa manière. Celui-ci sourit à nouveau pour la première fois depuis longtemps.

Dafne est très sociable et elle aime discuter avec les gardes forestiers qui les accompagnent pour un bout de chemin, elle et son père.

En arrivant dans l'ancienne maison familiale, Dafne ouvre les fenêtres pour laisser entrer un peu d'air et, avec son père, elle se souvient à quel point sa mère se sentait bien à chaque fois qu'ils se rendaient dans cette vallée.

Dafne offre un cadeau émouvant à son père.

L'inspecteur Lojacono est transféré au commissariat de Pizzofalcone. Arrivé sur place, le policier Guida le salue de manière désinvolte, mais Lojacono lui fait remarquer que ce n'est pas une façon de se présenter.

Palma présente Lojacono à l'équipe du commissariat de Pizzofalcone, qui ne sera opérationnel que pour quelques mois encore.

L'agent Aragona a lu les dossiers de ses collègues pour savoir ce qu'ils avaient fait au cours de leur carrière. C'est ainsi que nous découvrons ce dont Giuseppe Lojacono était accusé.

Au poste de police, un appel arrive et bien que ce ne soit pas une tâche administrative, Lojacono décide de faire son travail et de se rendre sur les lieux.

Lojacono aperçoit un objet sous la table qui pourrait être l'arme du crime. Le commissaire adjoint renvoie Lojacono car il objecte que ce type d'affaire n'est pas de son ressort.

Le commissaire adjoint Palma est très en colère contre Lojacono pour être intervenu dans une affaire qui ne relève pas de la compétence du commissariat de Pizzofalcone. Deux agents de l'équipe de Palma sont envoyés chez une femme qui dit que sa voisine est prisonnière dans son appartement.

Di Nardo et Romano tentent d'en savoir plus sur la mystérieuse femme, mais lorsqu'ils lui demandent de monter à l'étage pour vérifier si tout va bien, elle refuse. Le procureur appelle un collègue pour obtenir des informations sur Lojacono.

Lojacono est convoqué par le procureur. Ils se rencontrent pour un café et elle va droit au but: elle veut savoir ce que pense Lojacono du meurtre de Madame De Santis.