Matarazzo et Calogiuri n'ont obtenu aucune information de Paolo Calandra, bien que Matarazzo ait peut-être trouvé un moyen de le convaincre de coopérer. Imma peut enfin consulter le dossier de la disparition de Domenico Bruno. Diana lui demande une faveur qu'elle ferait mieux de ne pas lui demander.

Un nouveau meurtre, certainement lié à celui de Ramaglia, désoriente l'équipe de Pizzofalcone. À partir du seul indice dont ils disposent, Lojacono et ses collègues commencent à enquêter sur le meurtre de Capuano pour trouver le lien avec celui de Ramaglia.

Alors que Giuseppe, Ninì et Cloe s'amusent en écoutant de la musique, en dansant et en se préparant à pique-niquer, une lettre arrive pour Giuseppe et vient troubler cette belle ambiance.

Manzi parvient à terminer l'année avec ses élèves en les préparant jusqu'au certificat de fin d'études primaires. Le dernier jour d'école, Manzi remet à ses élèves une belle lettre dans laquelle il leur rappelle ce qu'ils ont fait ensemble pendant l'année scolaire et les encourage à toujours rester eux-mêmes et à s'ouvrir au monde sans jamais se soumettre.

Camilla est invitée à se rendre de nouveau à la gendarmerie où elle apprend des informations importantes sur l'affaire Dora. Elle tente d'appeler Gaetano, mais ne parvient pas à lui parler.

Imma voudrait répondre au sujet de la présupposée erreur judiciaire parue dans le journal, mais son supérieur l'en empêche. Une nouvelle recrue au caractère bien trempé et en grande forme physique accepte une première mission au côté de Calogiuri.

Lojacono rencontre Paolo, un ancien collègue sicilien qui vient l'informer des nouveautés sur l'histoire passée de Giuseppe. Cependant, il ne veut plus entendre parler de cette affaire-là et veut tourner définitivement la page. Plus tard, au poste de police, Bukhar est interrogé, mais les choses ne se présentent pas bien pour lui.

Nina rentre chez elle pour prendre ses affaires. Découragée d'avoir passé sa vie à s'occuper de la maison et de ne pas avoir pu se marier, Nina se confie finalement à Cloe.

La commission du ministère évalue la méthode d'enseignement du jeune Manzi qui rejette le modèle scolaire fondé sur la bureaucratie, la certification et l'évaluation.

Dans ce moment difficile, Camilla ne se sent comprise que par la personne qui l'aime le plus : sa mère.

D'après le résultat de l'analyse calligraphique, Imma suppose que l'architecte était probablement homosexuel. Elle interroge à nouveau Giulio Bruno. Diana reproche à Imma d'être un peu dure envers ceux qui travaillent dur à la résolution de l'enquête.

Lojacono et Aragona retrouvent Bukhar et l'amènent au commissariat car il n'a pas d'alibi pour la nuit où Vincenzo Ramaglia a été tué et pas de permis pour le port de son pistolet.

Sœur Helga comprend l'état d'esprit de Giuseppe qui, à ce moment-là, se sent coupable de faire souffrir les gens qu'il aime. Parmi eux, il y a bien sûr Elena. Pour elle, il écrit une lettre qui lui rappelle sa promesse de rester ensemble.

Les doutes du directeur de la RAI s'évanouissent lorsque le facteur livre des centaines de lettres pour Manzi. De toute évidence, l'objectif de l'émission a été atteint et Manzi est devenu le professeur de tous les Italiens qui apprennent à lire et à écrire. Il ne reste plus qu'à attendre la décision de la commission du Ministère concernant son avenir en tant qu'enseignant.

M. Rigas, appelé à témoigner avec Camilla, déclare qu'il s'est disputé avec elle à l'arrêt du tram et qu'il a vu l'accident de Dora et selon lui, Camilla était la mieux placée pour pousser Dora. Camilla est sous le choc d'une telle déclaration mensongère et se rend au poste de police pour parler avec Gaetano.