Alex et Romano ont une conversation plutôt houleuse avec la mère et les frères de Nunzia Scarlatti. Surtout Romano qui n'y va pas par quatre chemins et l'un des frères de Nunzia se jette sur lui. Au poste de police, Pisanelli est convaincu que les personnes âgées qui sont décédées ne se sont pas suicidées.

Malgré les visites d'amis et de parents, une personne hospitalisée reste souvent seule avec ses propres pensées et symptômes. Parfois, ceux qui peuvent vous comprendre sont seulement les autres malades. Dans le cas de Luigi, son voisin Amed, qui avait toujours été amical et très calme, enfin jusqu'à maintenant...

Giuseppe a une grande passion pour son travail et fait passer ses patients avant tout. À l'hôpital, il parvient à sauver un homme qui n'avait plus d'espoir, mais cela ne lui épargne pas les critiques et les reproches du professeur De Lillo. Giorgio, au contraire, profite de la vie et aborde sa profession avec beaucoup de détachement.

Le commissaire et Torre ont trouvé quelque chose d'utile dans la villa de Nic Bianco et il ne reste plus qu'à approfondir l'enquête. À la maison, Camilla fait la cuisine mais il lui manque des œufs, elle se rend donc chez sa mère qui, pendant ce temps, s'occupe de sa peau.

Aragona rencontre Marina en dehors du bureau du notaire. Elle se sent plus libre de parler et avoue savoir qui est la maîtresse de son employeur. Il s'agit d'une comptable de 30 ans que le notaire a rencontrée un an auparavant.

Le professeur Zamagna explique à Luigi ce qu'il a fait pendant l'opération et bien qu'il dise que tout s'est très bien passé et que Luigi a bien réagi, celui-ci ne se sent pas bien du tout.

Giuseppe aperçoit le garçon qui lui avait volé son portefeuille. Cette fois, il est poursuivi par un gendarme, mais Giuseppe parvient à le mettre hors de danger et à l'emmener avec lui à la plage et à manger un bon plat de pâtes.

Une fin très émouvante qui nous fait réaliser à quel point certaines personnes, par leur compétence et leur humanité, peuvent laisser de beaux souvenirs dans le cœur des gens.

Camilla s'implique de plus en plus dans l'affaire du meurtre de Nic Bianco et a même trouvé le mobile du tueur, mais Gaetano n'est toujours pas convaincu à cent pour cent. Renzo se rend à un cours de merengue et, alors qu'il danse avec Pamela, il voit qu'une personne qu'il connaît vient d'entrer dans la salle...

L'architecte répond à contrecœur aux questions des policiers sur la jeune fille qui vit dans son appartement. Lojacono continue de tisser des liens professionnels avec le Procureur provoquant peut-être un peu de jalousie autour de lui.

Tout le monde sans exception défoule presque toujours ses nerfs sur les boutons de l'ascenseur, un grand classique. Dans les couloirs de l'hôpital une jeune et belle femme passe et tout le monde la remarque, il s'agirait de la responsable du menu de la cantine.

La soirée que Giorgio avait prévu de passer avec Cloe ne s'est pas déroulée exactement comme il le pensait. À l'hôpital, lors de leur premier jour, Sœur Helga sensibilise les deux jeunes recrues aux règles strictes de l'hôpital.

La brillante thèse d'Alberto Manzi lui vaut un poste d'assistant et la perspective de devenir pédagogue pour former d'autres maîtres. Cette proposition, bien que tentante, met Alberto en difficulté car l'idée de quitter ses élèves le déchire intérieurement.

En parlant à Allegra, Camilla découvre que la jeune fille n'a pas une bonne relation avec sa mère, d'autant plus que celle-ci est la maîtresse du chauffeur de son père. Le commissaire et son équipe ont peut-être trouvé un autre suspect qui semble cependant s'être volatilisé.

Pendant que Lojacono et Aragona interrogent les employés dans le cabinet du notaire, Romano et Di Nardo entrent dans la maison de la mystérieuse fille avec un mandat.