Cette brève expérience d'Oriana dans un orphelinat est très intense et elle ne l'oubliera jamais.

Comme une huître qui préserve une perle rare, le théâtre San Carlo de Naples a préservé et protégé l'art, l'opéra et la culture. Alberto Angela nous fait pénétrer dans ce théâtre qui reste encore aujourd'hui l'un des plus beaux d'Europe.

Les choses deviennent plus claires grâce à Camilla, mais on ne sait pas encore qui est l'assassin.

Ugo réveille Nora au beau milieu de la nuit pour lui expliquer pourquoi il n'est pas monté sur la grue, mais Nora reste de marbre.

Grand-mère Enrica peut sembler bourrue, mais au fond c'est une personne généreuse et qui tient aux autres.

Oriana rencontre enfin le général Loan et interroge les trois prisonniers.

Le voyage se poursuit à Naples en Campanie, Alberto Angela pousse les portes du plus ancien théâtre d'Europe: le Théâtre San Carlo.

Un mystère se cache derrière la mort de Rotunno, le commissaire cherche à déchiffrer le message de la mettre recommandée.

Libero parvient enfin à raconter son histoire à quelqu'un. Alberto quant à lui, semble très fatigué et préfère se reposer au lieu de sortir avec sa petite amie.

Oriana rend visite à François Pelou puis son photographe vient l'informer qu'elle a obtenu l'autorisation d'interroger les trois détenus condamnés à mort.

Le cloître de la cathédrale d'Amalfi est l'un des édifices les plus connus et les plus intéressants de toute la côte amalfitaine. Le complexe architectural est l'un des principaux exemples de l'art roman d'Amalfi et il abrite des curiosités et des particularités venues de cultures lointaines.

L'embuscade de Torre et Ferrari ne parvient pas à arrêter Luca, qui réussit à se rendre chez Camilla. Mais quand Camilla sort pour lui parler, Luca a disparu.

Lele Ju ne va pas bien et dans la famille, tout le monde semble inquiet. Guido croit qu’il est préférable de faire une visite médicale. Grand-père Libero aimerait raconter à Guido une histoire de son passé, mais ce n’est peut-être pas le bon moment.

Oriana recueille les témoignages des soldats au camp de base, qui tour à tour racontent l'horreur de la guerre.

De l'immense cathédrale de Sant'Andrea, il reste le portail, commandé par un noble d'Amalfi, sur lequel sont représentées des figures sacrées dont, précisément, celle de Saint-André.